Son Éminence Francis George, archevêque de Chicago et
président de la conférence épiscopale des États-Unis : Ces
dernières années, les catholiques et les membres de l'Église de
Jésus-Christ des saints des derniers jours ont été partenaires dans
la défense de la vie et de la dignité humaines. En plus de
travailler ensemble pour réduire la pauvreté, nous avons œuvré
ensemble dans la lutte contre les dégradations liées à l'industrie
pornographique, dans la défense du droit à la vie de ceux qui sont
dans le ventre de leur mère, et dans la défense du mariage en tant
qu'union d'un homme et d'une femme face aux diverses tentatives de
le redéfinir juridiquement. Je suis personnellement reconnaissant
qu'après 180 ans d'existence parallèle, catholiques et saints des
derniers jours aient commencé à se considérer comme partenaires de
confiance dans la défense des principes moraux qu'ils partagent.
Bien entendu, ce partenariat dans de grandes causes morales
s'appuie sur une amitié et un respect mutuel qui se sont développés
ces dernières années. Je remercie Dieu pour l'harmonie qui s'est
établie entre nous, et pour les possibilités d'approfondir notre
amitié par le témoignage et le dialogue. (Propos tenus le 23
février 2010 à l'université Brigham Young ; voir l'intégralité du
discours sur http://www.usccb.org/seia/catholics-latter-day-saints.pdf
; voir aussi
http://newsroom.lds.org/article/cardinal-george-addresses-religious-freedom-in-speech-at-byu)
Haskel Lookstein, rabbin, ancien président du conseil des
rabbins de l'État de New York, président du Synagogue Council of
America et président du National Rabbinic Cabinet de l'UJA : (En
2009, à l'issue d'une visite des bâtiments de l'Église dans la
vallée du lac Salé, notamment des établissements d'entraide, du
centre humanitaire, de la bibliothèque d'histoire familiale et du
temple des monts Oquirrh - au cours de ses visites guidées - le
rabbin a exprimé ce qu'il a ressenti au cours de sa visite en
déclarant, en résumé, ce qui suit) Il y a deux raisons très
différentes aux actes de bonté et de générosité. Certaines
personnes rendent visite aux malades, aident les pauvres et servent
leurs semblables parce qu'elles croient que c'est la bonne chose à
faire et que les autres feront de même pour elles lorsqu'elles
seront dans le besoin. Cela développe la sollicitude au sein des
collectivités et l'on doit considérer cela comme une bonne raison.
Mais une motivation encore plus noble est de servir nos semblables
parce que nous croyons que c'est ce que Dieu veut. Ma visite
m'amène à croire que les saints des derniers jours font des efforts
d'entraide et humanitaires ainsi que l'œuvre du salut dans leurs
temples parce qu'ils croient que c'est ce que Dieu veut qu'ils
fassent. (voir Le Liahona, novembre 2009, p. 91)
Pierre-Valéry Archassal, généalogiste, spécialiste en
paléographie et en nouvelles technologies en lien avec la
généalogie, auteur : Les mormons forment une Église qui respecte
l'autre et ne fait pas de prosélytisme outrancier. J'ai
personnellement bénéficié de leur accueil au centre de consultation
de Versailles dès la fin des années 1970. Jeune à l'époque, je n'ai
jamais été incité à entrer dans l'Église ou à participer à quelque
cérémonie que ce soit. Les responsables du pieu de Paris
(l'équivalent de leur évêché) m'ont toujours accueilli sans jamais
rien me demander en échange et surtout sans chercher à me
convaincre. Je leur serai éternellement reconnaissant de ce respect
qui force l'admiration à une époque où plusieurs communautés
religieuses abusent de méthodes agressives. (Pierre-Valéry
Archassal, Généalogie
d'aujourd'hui , Hachette, 2008)
Monseigneur Krister Stendahl (1921-2008), théologien suédois
spécialiste du Nouveau Testament, directeur de l'institut Shalom
Hartman à Jérusalem, évêque de Stockholm, professeur et doyen à la
Divinity School de l'université
d'Harvard :
C'est une expérience spirituelle pour quelqu'un comme moi d'avoir
l'occasion de voir à quoi ressemble un temple des saints des
derniers jours.
J'ai découvert que le mormonisme, dans sa perspective de rebâtir
des temples, et par son influence divine, rend perméable le mur qui
sépare notre monde des cieux. Cela m'interpelle dans la mesure où
c'est quelque chose de bon à connaître.
Je ressens que l'expérience mormone du temple a rétabli le sens du
mot temple.
Dans 1 Corinthiens, au chapitre 15, l'apôtre Paul parle de ceux qui
se font baptiser pour les morts, et pour lui, il est évident qu'il
s'agissait d'une pratique courante qu'il ne conteste pas.
Maintenant, avec les mormons, nous avons de nouveau cette pratique.
C'est quelque chose de magnifique. Je peux très bien m'imaginer
accomplir de tels baptêmes qui apportent les bénédictions que j'ai
reçues dans et par le Christ. C'est une façon magnifique de laisser
se rejoindre l'éternel et le temporel. Et d'une certaine façon,
c'est la substance même du christianisme.
(
Between Heaven and Earth , film réalisé par l'Église de
Jésus-Christ des saints des derniers jours)
Frank Moore Cross, professeur d'histoire ancienne à la
Divinity School de l'université d'Harvard, fils d'un pasteur
presbytérien :
Je m'intéresse et me réjouis de voir combien d'anciennes traditions
religieuses, et en particulier des traditions bibliques, font
partie des rites et des pratiques religieuses des mormons.
Ceux qui ne connaissent pas grand-chose au sujet des temples et de
la construction des temples mormons devraient retourner consulter
la Bible.
(
Between Heaven and Earth , film réalisé par l'Église de
Jésus-Christ des saints des derniers jours) Geraldo Alckmin,
gouverneur de l'État de Sao Paulo (Brésil) : Nous sommes heureux de
voir l'Église grandir ici, à Sao Paulo. Les membres de l'Église
craignent Dieu. Leurs familles savent entretenir de bons rapports
avec leurs voisins et elles ont des principes et des valeurs qui
les guident dans la vie. (voir
Church News du 18 février 2006 ; voir aussi Le
Liahona, juillet 2006, Nouvelles de l'Église, p. 1-2)
Christian Smith, directeur de l'étude sur l'influence de la
religion sur la jeunesse (National Study of Youth and Religion)
réalisée par le gouvernement américain : Je ne veux pas idéaliser
la jeunesse mormone, mais si on se limite aux croyances religieuses
et à leur impact sur la société, les jeunes mormons arrivent en
tête de liste. (L'étude menée auprès de 3500 jeunes américains de
13 à 17 ans a montré que 91% des jeunes saints des derniers jours
questionnés avaient peu ou pas de doutes sur leurs croyances, ce
qui les préservait de la drogue, de l'alcool et des relations
sexuelles avant le mariage. Un point qui a étonné les enquêteurs
est la précision avec laquelle les jeunes mormons articulaient
leurs croyances. Voir www.idumea.org/Miseajour/Misesajour.htm,
mai 2005 et
http://www.youthandreligion.org
Richard J. Mouw, protestant évangélique, président du Fuller
Theological Seminary et chroniqueur de Beliefnet : (Le 14 novembre
2004, lors d'une réunion tenue au Tabernacle de Salt Lake City,
organisée par Standing Together, un réseau de 100 églises
évangéliques qui essaient d'améliorer les relations avec les
membres de l'Église de Jésus-Christ des saints des derniers jours,
Richard Mouw a déclaré ce qui suit) Ces derniers temps,
évangéliques et mormons ont travaillé ensemble sur des thèmes
importants de moralité publique. Ici en Utah, le ministère Standing
Together a été disposé à prendre des risques considérables en
s'opposant aux attaques évangéliques les plus agressives et les
plus perturbatrices contre l'Église de Jésus-Christ des saints des
derniers jours. Je suis, depuis une demi-douzaine d'années, membre
d'un petit groupe d'érudits évangéliques qui se livrent à des
discussions prolongées, à huis clos, sur des sujets spirituels et
théologiques, avec un petit groupe de nos homologues saints des
derniers jours. Nous n'avons pas eu peur de discuter énergiquement
entre nous, mais nos débats se sont déroulés dans le désir sincère
de nous comprendre véritablement les uns les autres. Ce faisant,
nous avons créé des liens profonds d'amitié. Je sais que j'ai
beaucoup appris dans ce dialogue permanent et je suis maintenant
convaincu que nous, les évangéliques, nous avons souvent
sérieusement déformé les croyances et les pratiques de la
communauté mormone. En effet, il faut que je le dise carrément aux
saints des derniers jours qui sont ici ce soir : nous avons péché
contre vous. Le Dieu des Écritures dit clairement que c'est une
chose terrible que de porter un faux témoignage contre son prochain
et nous avons été coupables de cette sorte de transgression dans ce
que nous avons dit à votre sujet. Nous vous avons dit ce que vous
croyez sans faire d'abord l'effort sincère de vous demander ce que
vous croyez. Nous avons fortement insisté sur la nécessité de
défendre fermement devant vous les convictions chrétiennes
traditionnelles, citant régulièrement le commandement de l'apôtre
Pierre que nous devons défendre devant des gens comme vous
l'espérance qui est en nous - mais nous n'avons pas pris soin de
respecter la recommandation que ce même apôtre fait à cette
occasion, quand il nous dit que nous devons toujours présenter nos
arguments " avec douceur et respect " à ceux avec qui nous parlons.
Il nous est, en effet, même arrivé, à l'occasion, de vous
diaboliser, en inventant des théories de conspiration sur ce que la
communauté des saints des derniers jours essaie " en réalité "
d'accomplir dans le monde. Et même dans le meilleur des cas, nous
avons - et c'est vrai pour nos deux communautés - mené un dialogue
de sourds, en présentant des versions simplistes et déformées de ce
que l'autre groupe croit. Ces dernières années, je me suis fait
quelques amis mormons merveilleux. Ils m'ont aidé à voir en quoi
j'ai souvent mal interprété la pensée mormone. Bien entendu, à la
suite de ces conversations, je suis également resté convaincu qu'il
y a des points de désaccord très réels entre nous - et que certains
de ces points revêtent une importance éternelle. Mais nous pouvons
maintenant discuter de ces sujets en amis. (voir http://www.idumea.org/Etudes/Histoire/Evangelique.htm)
Le Père Thomas Rosica, directeur national des Journées
Mondiales de la Jeunesse tenues en juillet 2002 à Toronto (Canada)
:
La nature multiculturelle, multireligieuse et oecuménique de
Toronto a été particulièrement évidente pendant les JMJ. Le Congrès
musulman a ouvertement soutenu l'événement et les mosquées de la
ville ont envoyé de nombreux bénévoles. Plusieurs pèlerins ont été
accueillis dans des familles juives. Des personnes d'autres
croyances ont travaillé comme bénévoles ou ont hébergé des
pèlerins. Les mormons ont envoyé une délégation importante de
bénévoles pour aider à distribuer les repas et ont donné une tonne
de fleurs fraîches pour décorer tous les endroits où devait passer
le pape. Ce don était un signe merveilleux de la portée des JMJ et
de la bonté qu'elles suscitent partout où elles ont lieu.
(voir http://www.zenit.org/article-3651?l=french
; voir aussi Le Liahona, février 2003, Nouvelles, p.
16)
Monseigneur Jean Vernette, spécialiste des sectes pour l'Église
catholique de France, en 2002 :
Le terme de secte ne peut leur être appliqué. Les mormons ne sont
pas violents ; ils n'exercent pas de pressions sur leurs membres,
comme le font habituellement les sectes. Leur doctrine diffère de
l'enseignement catholique. Ainsi, pour les mormons, Dieu le Père,
Jésus-Christ et le Saint-Esprit sont trois entités différentes.
Pour eux, la faute originelle n'existe pas. C'est pourquoi ils ne
participent pas au dialogue oecuménique.
(voir Pèlerin Magazine n° 6219 du 8 février 2002, p.
35)
Le Père Luis Ladaria, théologien de l'Université pontificale
grégorienne, en 2001 :
Catholiques et mormons se sont trouvés souvent à travailler
ensemble sur une série de problèmes concernant le bien commun de
l'humanité entière. (voir L'Osservatore Romano, 16 juillet 2001 ;
voir aussi
http://www.zenit.org/article-944?l=french)
Henri Caillavet, ancien secrétaire d'État et parlementaire
français, en 1995 : J'étais rapporteur spécial de la Commission
Nationale Informatique et Liberté. C'est à dire le rapporteur des
problèmes sensibles, des fichiers sensibles politiques, religieux,
syndicaux. Bref, l'enquête se déroule sur deux plans :
Français et étranger (États-Unis). En France je peux en effet
obtenir des renseignements qui sont convenables au plan du droit,
et aussitôt je me rends aux États-Unis et qu'est-ce que j'ai
constaté ? C'est qu'il y a plusieurs milliards de fiches,
d'ailleurs eux-mêmes m'ont dit, et nous sommes en 1989, plus de 14
milliards venant de 40 pays différents. En ce qui concerne les
Français : 500 millions de fiches. Depuis, il doit y en avoir
davantage puisque le microfilmage a continué. Nous sommes donc en
présence d'une bibliothèque géante, la plus impressionnante qui
soit. Alors je me suis bien évidemment intéressé à la finalité.
Deux finalités : une finalité religieuse incontestable. Il faut
baptiser les ancêtres, c'est pourquoi les mormons vivants
recherchent leur arbre généalogique et leurs ascendants parce que
les âmes errent dans l'infini du temps, donc il faut pouvoir les
sauver. Et une autre finalité qui est évidemment plus propre à une
situation moderne, savoir : des recherches sur des fiches
particulières, sur des générations particulières, notamment pour
des recherches sur le cancer ou des recherches
sociologiques. D'où la création d'une commission de contrôle. Parce
que pour la première, la finalité religieuse, comme ce sont des
pièces qui ont plus de cent ans, n'importe qui peut les consulter.
Pour l'autre il s'agit au contraire des pièces d'une époque
actuelle, donc il fallait une autorisation spéciale. Je constate
que tout cela a été régulier, tout cela est conforme à la
législation française. Alors c'est vrai que la commission m'a
approuvé. J'ai quand même une conception personnelle en tant que
rapporteur, en tant qu'homme : J'ai trouvé de la part des personnes
que j'ai interrogées une très grande sincérité, et je pense qu'il
n'y a pas de duplicité. Ce sont des personnes loyales qui entendent
au contraire prouver par cette probité extrême qu'elles détiennent
la vérité. En tant qu'enquêteur je la cherchais. Mais là je dois
dire qu'elles sont assurées de leur vérité. C'est un credo, c'est
une foi, mais non sectaire. C'est-à-dire qu'elles acceptent le
dialogue avec autrui alors que trop souvent le dogme est
éliminatoire, il rejette, et le dogme est agressif, là non. Nous
sommes en présence d'une communauté qui a le souci de sa
personnalité et de son identité, la certitude de ses choix avec la
volonté de convaincre mais non d'imposer. Et c'est là que je dois
dire que les mormons, de ce côté-là, m'ont particulièrement séduit.
Pour autant, je n'ai pas le souci de devenir mormon. (Reportage
Les microfilms de l'éternité de Bernard MOUNIER diffusé sur
la chaîne télévisée ARTE le 19 novembre 1995) Adam Lopatka
(1928-2003), ministre du culte du gouvernement polonais de 1982 à
1987 : Votre Église est la bienvenue ici. Vous pouvez construire
vos églises, vous pouvez envoyer vos missionnaires. Vous êtes les
bienvenus en Pologne. (voir Le Liahona, novembre 2008, p.
67)
La reine Juliana des Pays-Bas (1909-2004), en 1952 : La
reine avait prévu un entretien de trente minutes avec le président
de l'Église, David O. McKay, et son épouse. Le président McKay fit
attention à l'heure et, quand les trente minutes se furent
écoulées, il remercia poliment la reine et se prépara à partir. La
reine dit alors : Monsieur McKay, asseyez vous ! J'ai apprécié ces
trente minutes plus que cela ne m'était arrivé depuis longtemps. Je
vous demanderais d'allonger un peu votre visite. Le président McKay
se rassit. Puis on apporta une petite table servie, et la reine
versa trois tasses de thé, en donna une au président McKay, une à
son épouse, et en garda une pour elle. Quand elle eût remarqué
qu'aucun de ses invités ne buvait de thé, cela donna lieu au
dialogue suivant : La reine : Ne prendrez-vous pas un peu de thé
avec la reine ? Le président : Je dois vous dire que dans notre
Église nous ne buvons pas de boissons excitantes, et nous pensons
que le thé est un excitant. La reine : Je suis la reine des
Pays-Bas. Voulez-vous dire que vous n'allez pas prendre un peu de
thé, même avec la reine des Pays-Bas ? Le président : La reine des
Pays-Bas demanderait-elle au dirigeant d'un million trois cent
mille personnes de faire quelque chose qu'il enseigne à son peuple
de ne pas faire ? La reine : Vous êtes un grand homme, monsieur, je
ne vous le demanderais pas. (Carl W. Buehner, People of Faith,
Brigham Young University Speeches of the Year, 14 janvier 1953, p.
2)
George J. Fisher, administrateur des Boy Scouts des
États-Unis d'Amérique (années 1940) :
L'Utah vient en tête pour le nombre de Boy Scouts
proportionnellement à sa population. Il s'y trouve un plus grand
nombre de gradés et un pourcentage plus élevé de Routiers que dans
n'importe quelle autre section d'Amérique. L'Utah donne l'exemple
au pays tout entier. L'Église mormone est le facteur principal de
ce résultat.
(LeGrand Richards, Une oeuvre merveilleuse et un prodige,
1950, 1963, 1981, p. 287)
Le Dr E. A. Ross, sociologue, université du Wisconsin,
États-Unis (années 1930) :
En tant que sociologue, voici quelques-unes de mes impressions sur
l'Utah : Tout d'abord, je suis très favorablement impressionné par
l'Église mormone. Je ne connais aucun autre endroit où l'on
pourvoit aussi bien aux besoins de la jeunesse qu'en Utah. Je ne
m'explique pas comment les mormons ont eu, si longtemps avant nous,
sociologues, l'idée de pourvoir aux besoins récréatifs et sociaux
des gens. L'Église a fait cette découverte avec une grosse avance
sur nous. Je n'ai jamais rencontré autant d'excellents jeunes gens
qu'en Utah.
(LeGrand Richards, Une oeuvre merveilleuse et un prodige,
1950, 1963, 1981, p. 287)
Charles E. Barker, ambassadeur auprès de la jeunesse pour le
Rotary international, en 1919 :
Il y a deux ans... un auditoire m'a demandé de dire quel groupe de
citoyens avait le plus contribué à la civilisation parmi ceux que
j'avais observés au cours de mes voyages à travers le pays. Je leur
ai dit qu'il était difficile de répondre à cette question et que
s'ils m'avaient demandé, il y a vingt et un ans, alors que je
n'avais pas encore voyagé et que ma mentalité était encore très
provinciale et pleine de parti pris, quelle était la classe la plus
indésirable, j'aurais répondu sans hésiter : " les mormons ". Mais
ayant voyagé presque chaque année pendant seize ans et ayant appris
à connaître ces gens, j'en suis arrivé à penser que le peuple le
plus désirable, ayant le niveau le plus élevé de moralité et de
vertu, ce sont les mormons.
(Dixième convention annuelle du Rotary, Salt Lake City, États-Unis,
juin 1919)
Le révérend Charles Francis Potter (1885-1962), ministre
Unitarien, théologien et auteur :
Les non mormons en savent bien trop peu sur l'admirable
civilisation édifiée en Utah. En installant un système
d'irrigation, le premier en Amérique, les mormons ont fait du
désert un paradis agricole. L'urbanisme a été fait intelligemment à
une époque où le reste des communautés du pays se créaient au petit
bonheur. Les fruits de ces débuts systématiques sont maintenant
visibles dans la beauté et la prospérité des villes de l'Utah. Le
premier journal et la première université à l'ouest du Missouri ont
été créés par les mormons. Leur système éducatif, commencé très
tôt, comprend des écoles d'un niveau élevé, des sociétés
littéraires, des théâtres et des bibliothèques. Le niveau de
culture et de prospérité de l'Utah dépasse de loin celui d'autres
États américains. Il est également impossible de séparer la culture
de l'Utah du mormonisme, car cette religion est intimement mêlée à
la vie de l'État. Si nous voulons accepter le précepte de Jésus : "
Vous les reconnaîtrez à leurs fruits ", nous devons décerner une
belle palme aux mormons.
(Le Révérend Charles Francis Potter, The Story of Religion,
1930, p. 527)
Le roi Oscar II de Suède (1829-1907) : (Le 4 juillet 1906,
Heber J. Grant, alors membre du Collège des douze apôtres, fut reçu
en audience par le roi Oscar II de Suède qui lui tint les propos
suivants) M. Grant, j'ai envoyé mes représentants personnels, à
l'insu du peuple, dans presque tous les États de l'Union des
États-Unis, pour découvrir comment se portaient mes anciens sujets,
et comment ils prospéraient ; et il n'y a aucun État de l'Union où
les anciens sujets de la Suède et de la Norvège soient plus
satisfaits, plus prospères et plus heureux qu'en Utah. Et tant que
je serai roi de Norvège et de Suède, votre peuple aura la liberté
religieuse, bien que tous les prêtres et toutes les confessions
religieuses soient contre vous. (Conference Report of the Church of
Jesus Christ of Latter-day Saints, avril 1924, p. 154)
Le comte Léon Tolstoï (1828-1910), écrivain, homme d'État et
philosophe russe :
(En 1900, Thomas J. Yates était étudiant à l'université Cornell.
Andrew D. White, ancien président de l'université Cornell et, à
l'époque, ambassadeur des États-Unis en Allemagne, apprenant que
Yates était saint des derniers jours, l'invita à passer une soirée
chez lui et à cette occasion lui rapporta une discussion qu'il eut
en 1892 avec Tolstoï, alors ministre des affaires étrangères pour
la Russie)
Tolstoï : Dr White, j'aimerais que vous me parliez de votre
religion américaine.
White : Nous n'avons pas d'Église d'État en Amérique.
Tolstoï : Je sais cela, mais votre religion américaine ?
White : En Amérique il y a beaucoup de religions et chacun est
libre d'appartenir à l'Église de son choix.
Tolstoï : Je sais tout cela, mais je voudrais connaître la religion
américaine. Le catholicisme est parti de Rome, l'Église
épiscopalienne est partie d'Angleterre, l'Église luthérienne
d'Allemagne, mais l'Église dont je vous parle est partie
d'Amérique et est communément appelée l'Église mormone. Que
pouvez-vous me dire de l'enseignement des mormons ?
White : Ma foi, j'en connais très peu de choses. Ils ont une
réputation peu engageante, ils pratiquent la polygamie et ils sont
très superstitieux.
Tolstoï : Dr White, je suis fort surpris et déçu qu'un homme de
votre instruction et de votre situation se montre si ignorant de ce
sujet important. Le peuple mormon enseigne la religion américaine ;
ses principes enseignent aux gens non seulement le ciel et les
gloires qui en font partie, mais aussi la manière de vivre pour que
leurs rapports sociaux et économiques reposent sur une base saine.
Si les gens suivent les enseignements de cette Église, rien ne
pourra arrêter leur progrès - il sera sans limite. De grands
mouvements ont été lancés dans le passé, mais ils sont morts ou se
sont modifiés avant d'avoir atteint leur maturité. Si le mormonisme
est capable de persévérer sans dévier jusqu'à ce qu'il atteigne la
troisième et la quatrième génération, il est destiné à devenir la
plus grande puissance que le monde ait jamais connue.
(voir The Improvement Era, février 1939, vol. 42, p.
94)
(À la suite de cette conversation avec le comte Tolstoï, le Dr
White, à son retour aux États-Unis, se procura l'ensemble des
ouvrages de l'Église et les plaça à la bibliothèque de l'université
Cornell. Voir LeGrand Richards, Une oeuvre
merveilleuse et un prodige, 1950, 1963, 1981, pp.
307)
Josiah Quincy (1802-1882), maire de Boston, États-Unis
:
Il n'est pas du tout impossible que quelque futur livre à l'usagede
générations à venir contienne une question de ce genre : Quel
Américain du dix-neuvième siècle a exercé la plus grande influence
sur l'esprit de ses compatriotes ? Et il n'est pas du tout
impossible que la réponse à cette question puisse être rédigée
comme ceci : Joseph Smith, le prophète mormon. Et cette
réponse, aussi absurde qu'elle puisse paraître à la plupart de nos
contemporains sera peut-être une évidence à leurs descendants.
L'histoire contient ce genre de surprise et des paradoxes aussi
étonnants. L'homme qui a établi une religion en ce siècle de libre
débat, qui était et est encore aujourd'hui accepté par des
centaines de milliers de personnes comme émissaire direct du
Très-Haut, un être humain aussi rare ne peut pas être expédié en
abreuvant sa mémoire d'épithètes malsonnantes.
(Josiah Quincy, Figures of the Past, Boston, 1883, p.
376)
Charles Dickens (1812-1870), romancier britannique
(En 1863, le romancier monta à bord du navire l'Amazon qui partait
pour New York avec à son bord de nombreux convertis au mormonisme.
Son but était de faire un reportage sur les convertis qui
émigraient pour édifier Sion dans l'Ouest américain. Des milliers
de convertis avaient déjà émigré et beaucoup de choses avaient été
écrites sur eux et leurs croyances, particulièrement dans les
médias britanniques. La plupart des choses qui avaient été écrites
n'étaient pas favorables. Suite à sa visite sur l'Amazon, Dickens
écrivit ce
qui suit.)
Je suis monté à bord de leur bateau pour témoigner contre eux s'ils
le méritaient, comme je croyais sincèrement que c'était le cas. À
ma grande surprise, ils ne le méritaient pas.
Après avoir les avoir observés et s'être mêlé à eux, Dickens fut
impressionné par le comportement de ces convertis anglais, dont la
plupart étaient des ouvriers. À ceux qui avaient dit des
missionnaires mormons " ils ramassent surtout de la racaille ",
Dickens répondit :
Ce n'est pas de la racaille. Compte tenu de leur situation, c'est
la fine fleur de l'Angleterre.
(Charles Dickens, All the Year Round, A Weekly Journal, 4
juillet 1863 ; voir aussi David M. W. Pickup, The Pick and
Flower of England, Living Legend, 2001, p. 2 ; voir encore
Le Liahona, mai 2009, p. 34-35)
Victor Hugo (1802-1885), écrivain et poète français
(En 1852, l'écrivain, en exil, arrive à Jersey. Il y est peu
apprécié des Anglais. À l'époque, le siège de la mission française
de l'Église est à Jersey et Victor Hugo rencontre des saints des
derniers jours. Il reçoit notamment la visite de
Louis
Bertrand, alors conseiller dans la présidence de mission. Dans
la déclaration qui suit, il ne porte pas d'appréciation sur les
saints des derniers jours mais dit qu'étant ni catholique, ni
anglican, ni luthérien, ni calviniste, ni juif, ni méthodiste, ni
wesleyen, ni mormon, les Anglais le considèrent comme
athée.)
Pour les Anglais, je suis shocking, excentric,
improper. Je mets ma cravate sans correction. Je me fais
raser chez le barbier du coin, ce qui, au XVIIe siècle, à
Valladolid, m'eût donné l'air d'un grand d'Espagne et, au XIXe, en
Angleterre, me donne l'air d'un workman (travailleur, ce qui
est le plus méprisé en
Angleterre) ; je heurte le cant ; j'attaque la peine mort, ce qui
n'est pas respectable. Je dis 'Monsieur' à un lord, ce qui
est impie ; je ne suis point catholique, point anglican, point
luthérien, point calviniste, point juif, point méthodiste, point
wesleyen, point mormon : donc athée. De plus, Français, ce qui est
odieux ; républicain, ce qui est abominable ; proscrit, ce qui est
repoussant ; vaincu, ce qui est infâme ; poète, pour couronner la
chose. De là, peu de popularité...
(Alain Decaux, Victor Hugo, Librairie académique Perrin,
Paris, 1984, p. 855)
Commentaires liés à l'œuvre humanitaire de l'Église
Son excellence Hussain Haggani, ambassadeur du Pakistan aux
États-Unis :
(Suite aux inondations survenues dans le sud-est asiatique,
l'Église a fourni au gouvernement pakistanais 200 tonnes de
nourriture, de couvertures et autres produits qui ont été acheminés
et distribués par le Secours islamique des États-Unis.
L'ambassadeur du Pakistan a déclaré ce qui suit lors d'un passage
au siège de l'Église)
Au nom du gouvernement du Pakistan, je désire exprimer nos
remerciements et notre gratitude au président Thomas S. Monson, aux
dirigeants et aux membres de cette organisation pour leur
contribution.
Les membres de toutes les religions peuvent œuvrer ensemble et
doivent se fortifier mutuellement en période de crise.
(voir
http://www.eglisedejesuschrist.fr/actualites/vue-d-un-article/archive/2010/september/article/lambassadeur-du-pakistan-remercie-les-dirigeants-de-leglise-pour-laide-humanitaire-apport.html)
Rosanna Suarez, secrétaire nationale des services
humanitaires de Bolivie : (Dans la ville de El Alto, en Bolivie,
des centaines de membres de l'Église locale ont apporté les fonds,
les équipements et donné des heures de travail pour rénover et
améliorer Los Andes Hospital, une maternité accueillant les mères
enceintes et les enfants malades. Le département d'entraide de
l'Église a aussi distribué des milliers de fauteuils roulants en
Bolivie. Suite à ces actions, la secrétaire nationale des services
humanitaires s'est exprimée comme suit) Ces volontaires donnent un
sentiment d'unité. L'Église et ses membres donnent un exemple à
toute la collectivité de ce que l'on peut faire ensemble Ces
volontaires qui aident au nettoyage et participent à d'autres actes
de service, envoient un message puissant, non seulement aux
Boliviens mais aussi partout dans le monde. Les efforts
humanitaires aident aussi les jeunes Boliviens à acquérir cet
esprit de service. Ils envisagent leur avenir avec espoir et ils
veulent aider les autres. J'aimerais remercier les membres de
l'Église de Jésus-Christ des saints des derniers jours. Nous savons
d'où viennent tous ces fonds. Nous savons que les membres jeûnent.
Lorsqu'ils jeûnent, ils donnent de l'argent. Ils font vraiment un
sacrifice. Merci pour tout ce que vous faites. (voir
http://www.eglisedejesuschrist.fr/actualites/vue-d-un-article/archive/2010/may/article/les-autorites-boliviennes-temoignent-leur-gratitude-a-leglise.html)
Fanor Nava, maire d'El Alto, ville de Bolivie qui compte
plus d'un million d'habitants : (Dans la ville de El Alto, en
Bolivie, des centaines de membres de l'Église locale ont apporté
les fonds, les équipements et donné des heures de travail pour
rénover et améliorer Los Andes Hospital, une maternité accueillant
les mères enceintes et les enfants malades. Suite à cette action,
le maire d'El Alto s'est exprimé comme suit) Les efforts de
l'Église à Los Andes Hospital sauvent la vie d'enfants malades et
améliorent la santé d'autres personnes dans cette ville animée qui
compte plus d'un million d'habitants. Transformer cet hôpital est
un énorme projet, mais grâce à Dieu, cela se produit. L'avenir d'El
Alto s'améliore chaque fois qu'un enfant est guéri dans cet hôpital
que l'Église aide. Sauver des vies, c'est sauver des possibilités.
Si nous sauvons un enfant, nous savons que nous aidons un habitant
de cette ville qui pourra apporter à son tour quelque chose dans
l'avenir. Nous sauvons les nombreuses possibilités de service qu'un
enfant pourra rendre à la collectivité. Mais les déficits
budgétaires à El Alto signifient que la ville ne peut fournir
qu'une aide médicale limitée à ceux qui en ont besoin. Alors
l'Église fait ici ce que nous ne pourrions probablement pas faire
nous-mêmes. Nous avons besoin que les gens travaillent ensemble.
(voir
http://www.eglisedejesuschrist.fr/actualites/vue-d-un-article/archive/2010/may/article/les-autorites-boliviennes-temoignent-leur-gratitude-a-leglise.html)
Haskel Lookstein, rabbin, ancien président du conseil des
rabbins de l'État de New York, président du Synagogue Council of
America et président du National Rabbinic Cabinet de l'UJA : (En
2009, à l'issue d'une visite des bâtiments de l'Église dans la
vallée du lac Salé, notamment des établissements d'entraide, du
centre humanitaire, de la bibliothèque d'histoire familiale et du
temple des monts Oquirrh - au cours de ses visites guidées - le
rabbin a exprimé ce qu'il a ressenti au cours de sa visite en
déclarant, en résumé, ce qui suit) Il y a deux deux raisons très
différentes aux actes de bonté et de générosité. Certaines
personnes rendent visite aux malades, aident les pauvres et servent
leurs semblables parce qu'elles croient que c'est la bonne chose à
faire et que les autres feront de même pour elles lorsqu'elles
seront dans le besoin. Cela développe la sollicitude au sein des
collectivités et l'on doit considérer cela comme une bonne raison.
Mais une motivation encore plus noble est de servir nos semblables
parce que nous croyons que c'est ce que Dieu veut. Ma visite
m'amène à croire que les saints des derniers jours font des efforts
d'entraide et humanitaires ainsi que l'oeuvre du salut dans leurs
temples parce qu'ils croient que c'est ce que Dieu veut qu'ils
fassent. (Le Liahona, novembre 2009, p. 91) Martin Luther
King III : (En 2008, suite à un travail des membres de l'Église
en collaboration avec une organisation humanitaire dirigée par
Martin Luther King III en réaction au passage de l'ouragan Gustav,
M. King a visité Salt Lake City et a déclaré ce qui suit) Au
départ, j'étais venu pour exprimer à l'Église ma reconnaissance
pour son aide humanitaire mais je me suis rapidement rendu compte
que l'essence même de ce que vous êtes est beaucoup plus profonde
que ça. Ma visite du centre humanitaire, du quartier de l'entraide
et du temple m'a permis d'apprécier davantage la raison pour
laquelle vous faites ce que vous faites. (Le Liahona,
novembre 2009, p. 93) Diana Sufian, consultante sénior pour
le Secours islamique : (En mai 2006, le Secours Islamique a fourni
un Boeing 747 pour acheminer le matériel d'une valeur de 1,6
millions de dollars fournis par l'Église après le tremblement de
terre en Indonésie qui a tué près de 5800 personnes et laissé près
de 1,5 millions d'autres sans abri. À ce propos, Diana Sufian
a
déclaré) Nous connaissons la zone, nous connaissons les gens et
l'Église avait les marchandises. L'Église a dit " Faisons-le " et
ils l'ont fait, sans aucune arrière-pensée et sans essayer de
convertir qui que ce soit. (source :
http://www.eglisedejesuschrist.fr/actualites/vue-d-un-article/archive/2009/august/article/les-dirigeants-mormons-et-islamistes-oeuvrent-ensemble-pour-aider-les-autres.html)
Ahmad El Bendary, fondateur et conseiller principal du
Secours islamique : (En mai 2006, le Secours islamique a fourni un
Boeing 747 pour acheminer le matériel d'une valeur de 1,6 millions
de dollars fournis par l'Église après le tremblement de terre en
Indonésie qui a tué près de 5800 personnes et laissé près de 1,5
millions d'autres sans abri. À ce propos, le fondateur du Secours
islamique a déclaré) L'Église a dans l'ensemble été accueillie à
bras ouverts étant donné sa position de neutralité. Est-ce que les
deux parties souhaitent continuer ce partenariat ? Cette question
m'a été posée il y a 4 ans à Islamabad au Pakistan, suite à un
projet commun entre les mormons et le Secours Islamique dans ce
pays. Je leur ai dit que j'espérais que c'était un partenariat à
vie. (source :
http://www.eglisedejesuschrist.fr/actualites/vue-d-un-article/archive/2009/august/article/les-dirigeants-mormons-et-islamistes-oeuvrent-ensemble-pour-aider-les-autres.html)
Marsha J. Evans, présidente de la Croix-Rouge américaine :
Une fois de plus, l'Église a démontré son engagement important pour
l'éradication de la souffrance partout dans le monde. Rien ne peut
exprimer notre immense gratitude. (Commentaire fait à l'occasion
d'une campagne de vaccination contre la rougeole dans trente-six
pays africains, pour laquelle la Croix Rouge a demandé son soutien
à l'Église de Jésus-Christ des saints des derniers jours. Voir
Le Liahona, février 2006, Nouvelles de l'Église, p.
7) Ken Hackett, président des Services du Secours catholique
(Catholic Relief Services) : La tradition de collaboration de
l'Église de Jésus-Christ des saints des derniers jours et du
Secours catholique remonte à plus de vingt ans. Pendant la grande
famine d'Éthiopie du milieu des années 1980 l'Église de
Jésus-Christ des saints des derniers jours a été à la fois
disponible et des plus généreuse dans sa collaboration avec les
actions menées par le Secours catholique dans ce pays. Depuis, il
s'est établi un lien qui les a fait collaborer dans d'autres
parties d'Afrique ou d'Europe de l'Est. (Commentaire fait à
l'occasion d'une action commune où l'Église de Jésus-Christ des
saints des derniers jours, sollicitée par le Secours catholique, a
fourni 36 tonnes d'atmit en
faveur des victimes de la famine au Niger et, de sa propre
initiative, a couvert une partie des frais du transport. Voir
Church News du 20 août 2005 ; Le Liahona, janvier 2006, Nouvelles
de l'Église, p. 9)
Mise à jour : 02/07/2011
Remarque concernant le nom de l’Église:Quand vous parlez de l’Église de Jésus-Christ des Saints des Derniers Jours, veuillez utiliser le nom complet de l’Église la première fois que vous la mentionnez. Pour avoir plus de renseignements sur l’utilisation du nom de l’Église, consultez notre Guide de rédaction.