Communiqué de presse

Cinq raisons pour lesquelles je respecte, j'admire mon évêque

Je tiens à rendre hommage à mon évêque et tous les bergers du troupeau. Bien que les évêques viennent de divers horizons, aient des tempéraments et des talents différents, leurs vies et leurs services m'ont touché moi et beaucoup d'autres de façons innombrables et éternelles. Voici cinq raisons pour lesquelles je respecte et j'admire mon évêque. 1. Il voit. Mon évêque voit au-delà de la jalousie, de la colère, de la fierté et de l'apparence physique. Il voit le cœur. Parce qu'il voit avec l'œil d'un berger, il comprend que nous ne sommes pas tous issus de crèches douillettes. Il sait que chaque vie a une valeur, et chacun a une vie précieuse. Bien que les rêves et le coût des rêves diffèrent d'un individu à un autre, mon évêque ne voit qu'un précieux fils ou une précieuse fille de Dieu, et voyant cela, il sait comment apaiser. 2. Il est charitable. Je ne peux pas compter les heures et des longues nuits exigées du berger de la paroisse. Sachant que les évêques sont aussi des maris, pères, fils et frères, la pression sur le temps en famille et leurs fardeaux sont immenses. Mon évêque place Dieu et les autres avant lui. Il m'apprend que la charité n'est pas seulement un acte de bonté, mais un attribut du caractère. Quand je pense à mon évêque, la première chose qui me vient à l'esprit n'est pas ce qu'il accomplit, mais qui il est. 3. Il est sage. Certains de mes évêques étaient diplômés d'université, d'autres luttaient pour obtenir leur diplôme d'études secondaires, mais tous étaient instruits;tous parlaient la langue de l'Esprit. Mon évêque est sage parce qu'il sait que les cieux sont ouverts. Lorsqu'il est confronté à ce qui semble insurmontable, il cherche et reçoit des directives du ciel. Il guide les autres à Jésus et leur montre que la porte du ciel est ouverte à tous ceux qui frappent. "Je te donnerai un coeur sage et intelligent" (1 Rois 3:12) 4. Il est une sentinelle. Mon évêque garde les portes du temple sacré. Je suis reconnaissant qu'il soit un juge en Israël à qui je peux faire part de ma dignité afin d' entrer dans la maison du Seigneur. Sans mon évêque se tenant debout comme une sentinelle du ciel, je ne pourrais pas garantir mes obligations envers les liens de la famille éternelle. Je respecte mon évêque de garder mes confidences et de me faire confiance pour exercer mon libre-arbitre concernant ma relation avec le Seigneur et ce que je lui confie ou non. Mon évêque est aussi une sentinelle pour la dîme et les offrandes sacrées. Il aide les plus vulnérables et respecte la dignité des personnes dans le besoin. 5. Il aime Jésus. Mon évêque reflète l'amour du Sauveur dans la façon dont il traite les autres, en particulier sa femme et ses enfants. Il sert les autres sans être payé, mais paie le prix d'être un disciple au quotidien. Il représente Jésus en conseils dans les conseils(réunions),en franc-parler et en corrigeant avec douceur. Il est un disciple qui vit ce qu'il enseigne pas un "faites ce que je dis mais pas ce que je fais". Si vous respectez et admirez votre évêque comme moi le mien, allégez son fardeau. Acceptez ses conseils, honorez son épouse et soyez un ami pour ses enfants. Respectez son temps en famille. Appelez chez lui moins souvent mais faites appel à ceux qui en ont besoin plus souvent. Soyez le meilleur instructeur et visiteur au foyer que vous puissiez. Et surtout,en paroles et en actes,soyez "un modèle pour les fidèles"(1 Timothée 4:12) Dieu bénisse mon évêque et tous les bergers du troupeau. Aujourd'hui nous voulons donner la possibilité aux Evêques et Présidents de Branche de s'exprimer et de parler de leurs expériences, de leurs témoignages, de leurs joies et des difficultés qu'ils rencontrent en servant leur paroisse et les membres. Tous ces hommes sont semblables aux Apôtres que le Christ recrutait, ils venaient de milieux différents, avaient une sensibilité différente, mais ils avaient tous la même envie et la même joie de servir leurs prochains et le Seigneur. La rédaction Comment je ressens ma mission en tant que " pasteur " ! Il y a presque deux ans, j'ai été appelé à servir dans ma paroisse en tant que pasteur et bon berger. Tout d'abord, je témoigne du fait qu'il y a réellement un manteau spirituel inhérent à cet appel d'évêque, c'est surtout cela qui m'aide à prendre les bonnes décisions. Pour moi, les deux choses les plus importantes c'est à la fois d'être digne pour être un outil efficace entre les mains du Seigneur, et puis aussi d'être rempli d'amour pour les membres. Il y a à la fois de grandes responsabilités mais il y a aussi des bénédictions sans nombre. Je sais aussi que je ne suis qu'un tout petit bonhomme, Christ est ma lumière et la gloire appartient à Dieu, cela me suffit. Tous les appels dans l'Eglise sont importants, celui d'être un pasteur signifie que nous devons être attentif à bien garder nos brebis, il faut connaître les besoins de chaque membre en particulier, les aider à vaincre leurs difficultés, et les pousser à s'accomplir et à devenir meilleurs. Comme un parent avec ses enfants, il les aime et il veut pour eux ce qu'il a de mieux, c'est grâce à cet amour et avec l'aide de Dieu qu'il peut voir leur potentiel divin. Cette Eglise est celle du Sauveur, Il nous guide car il aime ses enfants et Il veut tous les ramener à Lui. J'en témoigne au nom de Jésus-Christ. Amen. Rudy Lambé
Evêque de la paroisse de Namur Mon nouvel appel d'Evêque ! Je suis un Evêque tout neuf, à peine sorti de son emballage, issu des ateliers du pieu de Bruxelles. Le 16 octobre, j'ai été soutenu et puis mis à part par Président Herway. Je n'ai donc pas encore beaucoup d'expérience personnelle sur le sujet. Par contre, en quelques jours, j'ai l'impression que les choses se sont accélérées, qu'une grande quantité de tâches et de responsabilités pèsent subitement sur mes épaules mais aussi qu'une force intérieure supplémentaire est apparue et que l'Esprit du Seigneur est là pour me guider. Pour moi, les appels que nous recevons dans l'Eglise sont une occasion magnifique de pourvoir participer à l'édification du royaume de Dieu sur la terre, mais aussi de pouvoir servir et nous rapprocher les uns des autres. Avant l'appel d'Evêque, j'ai déjà eu de nombreuses occasions de servir comme conseiller dans une présidence de Branche ou un Episcopat, au sein du collège de Prêtrise et comme président des jeunes gens. A chaque fois, cela m'a aussi permis de travailler avec d'autres frères et sœurs et de me faire de nombreux amis dans ma Paroisse et dans le Pieu. Cela m'a appris comment être un dirigeant, l'importance, c'est d'avoir de l'amour et de servir, et surtout de le faire avec l'Esprit ! J'ai aussi compris que chaque appel est important et que la vraie valeur d'un appel est celle qu'on lui donne ! Ce que j'aime particulièrement, c'est d'être proche des jeunes. J'ai beau avoir 46 ans, je me sens toujours l'âme d'un jeune homme, avec l'expérience en plus. Mon appel auprès de la jeunesse du Pieu m'a permis de passer 4 années formidables, inoubliables ... C'est magnifique de voir les jeunes se fortifier et prendre du plaisir dans l'Evangile. En tant qu'Evêque, j'ai vais avoir l'occasion plus que jamais d'avoir encore de belles expériences avec eux, j'en suis certain. Ma première priorité, c'est ma famille. Mon foyer est pour moi mon petit coin de Paradis sur terre. J'aime soutenir mon épouse dans ses différentes responsabilités, et elle me soutient également sur le chemin de la vie. C'est une grande force pour moi. Je suis tellement heureux d'avoir les quatre enfants que nous avons, c'est une grande bénédiction pour moi de les voir aimer aussi le Seigneur et trouver du plaisir à vivre l'Evangile. J'espère être à la hauteur de la confiance que le Seigneur a en moi. J'espère être un bon " Père " pour la Paroisse de Nivelles. Je connais bien les membres, ils sont formidables, et je les aime tous !
L'Evangile de Jésus-Christ est merveilleux à vivre, c'est la seule voie du vrai bonheur.
Eric Thomas
Evêque de la Paroisse de Nivelles Je veux témoigner de l'appel divin d'Evêque ! Je voudrais témoigner avec tout mon cœur de l'appel divin qui est celui d'évêque. Suivant l'exemple de notre Seigneur, sa mission est de guider les enfants de Dieu vers les meilleurs pâturages spirituels. Ceci s'inscrit dans la lignée de prêtrise qui est un véritable sacerdoce royal. L'appel d'évêque place la responsabilité d'être le gardien de ses frères de façon encore plus spécifique sur la tête de celui qui est appelé. A l'instar des frères qui m'ont précédé dans cet appel, je témoigne d'un accès spécial à l'inspiration et à la révélation qui n'aurait pas raison d'être sans cet appel. Il permet de comprendre rapidement et de cibler les réponses à donner aux besoins des frères et sœurs qui nous sont confiés. En tant qu'évêque, j'ai appris à connaître beaucoup mieux les frères et sœurs de ma paroisse parce qu'il m'a été donné le privilège de participer d'une certaine façon à leur intimité de vie temporelle et spirituelle. Ce privilège est une responsabilité de confiance qui me remplit de gratitude. Bien souvent je ressens de l'impuissance à aider l'un ou l'autre par la difficulté du problème présenté, par leur incompréhension ou tout simplement parce qu'ils doivent apprendre en utilisant leur libre arbitre. Parfois il n'y a que la prière de la foi et de l'espérance qui peut apporter du réconfort mais dans tous les cas où il est possible d'agir, le Seigneur le fait par la prêtrise, la Société de Secours, par le conseil de paroisse, les visites au foyer etc., tout simplement parce que nous sommes tous les gardiens de nos frères. L'Eglise est un endroit de refuge pour les âmes en souffrance ou ceux qui veulent progresser. Les paroisses sont l'hôtellerie de la parabole du bon samaritain où les plaies sont pansées, où il est possible de réconforter, fortifier et apporter de la joie à ceux qui sont agressés par les épreuves de la vie. L'évêque doit aussi être le garant des règles données par le Seigneur lui-même à l'Eglise et il arrive parfois qu'il doive se montrer un peu ferme dans certaines circonstances, même si son cœur est compréhensif et gonflé de compassion. Cela n'est pas souvent bien compris et c'est certainement le côté le plus difficile de la mission qui m'est confiée et qui apporte parfois des nuits blanches et de la tristesse. Cependant, dans la vie d'un évêque, il y a aussi quelques expériences de joie intense qui effacent d'un seul coup ces moments pénibles et remplissent le cœur de reconnaissance envers notre Seigneur qui nous fait comprendre qu'il n'est jamais loin. Je remercie le Seigneur ainsi que mes frères et sœurs pour la confiance qu'ils m'accordent. Je prie pour toujours en être digne et aussi pour avoir la sagesse d'agir en toutes choses à la manière du Seigneur. Amen.
Yvan Léonard
Evêque de la paroisse de Charleroi 1 Je témoigne que le Saint Esprit nous inspire ! C'est toujours un bonheur d'assister aux Conférences Générales de l'Eglise et de recevoir des paroles claires inspirées par le Saint-Esprit. Le prophète Joseph Smith a dit à un président des Etats-Unis que ce qui nous différencie des autres confessions c'est le fait que nous avons le Saint-Esprit.
Je témoigne que le Saint-Esprit nous inspire dans notre appel d'évêque. Il nous aide à diriger nos pas vers ceux qui ont besoin d'aide et de réconfort et à répondre à leurs besoins. Chaque évêque s'efforce de faire ce que l'apôtre Paul a dit : " Veillez à ce que nul ne se prive de la grâce de Dieu. " (Héb. 12 :15). La seconde chose, dont un évêque a grandement besoin dans sa vie de tous les jours, est d'avoir une épouse compréhensive et compatissante, ce qui lui permet d'être disponible pour les membres. Bien que cet appel soit complexe, il apporte de grandes joies... L'une d'elles se présente lorsqu'un jeune homme digne reçoit un appel à servir en mission ou qu'une jeune fille a accompli son Progrès Personnel. C'est alors qu'on se rend compte que l'amour et le soutien, qu'on a donné en complément de celui des parents, a porté ses fruits. Je témoigne que cette œuvre est divine, que j'ai vu des miracles depuis que mon épouse et moi sommes membres et que notre Père Céleste nous accorde son aide lorsque nous la lui demandons. Au nom de Jésus-Christ, Amen.
André De Lauw
Evêque de la paroisse de Nivelles L'Evêque De Lauw a été remercié honorablement le dimanche 16 octobre. Son témoignage nous étant parvenu, nous le publions aussi... C'est un appel à servir ! Lorsque j'ai été appelé pour la deuxième fois par le Seigneur en tant que président de branche à Liège 1, contrairement à la "première" fois, je m'y attendais un peu. (J'ai vécu une première magnifique expérience durant 8 ans à Seraing). Tout d'abord j'ai été appelé comme greffier dans ma branche actuelle, puis conseiller dans la présidence de branche et enfin DMB (Dirigeant de Mission de Branche). Après cette série d'appels où je me suis rendu compte en tant que DMB que je devais diriger des membres bien plus qualifiés que moi, je me suis senti malgré ma taille ( + ou - 1,90 m de haut - qui me restent), bien humble, car je devais diriger notamment un chercheur à l'université de Liège et même deux anciens professeurs de français dont un qui, à ma plus grande surprise, excusez-moi du peu, avait aussi le grade de colonel dans l'armée américaine...
Mais malgré nos différences intellectuelles, nous avons la même foi et le même désir :
" faire avancer l'œuvre missionnaire " et le Seigneur a pu en récolter les fruits récemment.

Parfois je dois me repentir aussi, et me calmer... car quoi de plus énervant, pour moi qui suis un homme impatient quand je me rends compte que je n'ai pas toujours les moyens que je souhaite pour faire avancer l'œuvre du Seigneur aussi vite que " je " le voudrais ! Une bonne occasion de remercier mon épouse qui a l'art de me rappeler à l'ordre et qui se rend compte tout comme moi, qu'aussi impatient que je puisse être, je dois être capable d' avancer au rythme des autres... Je sais sans aucun doute que je suis dans l'Eglise de JESUS-CHRIST, qu'Il la dirige et qu'elle a été rétablie en ces derniers jours par un de ses plus humbles serviteurs : Joseph Smith le Prophète. L'organisation de Son Eglise est la même aujourd'hui que celle qu'Il dirigeait de son vivant et quelle bénédiction en ces jours troublés que de recevoir et d'appliquer les conseils d'Apôtres et de Prophètes vivants.

J'aimerais aussi remercier le Seigneur pour l'inspiration qu'Il me donne, pour le soutien que je reçois de ma famille, de mes dirigeants et des membres de ma branche qui sont tous importants pour moi, que ce soit depuis le plus jeune qui n'a que quelques mois jusqu'au plus âgé qui se rapproche de ses cent ans.

Bien sincèrement,
André Stoumont
Président de la Branche de Liège 1 Je suis au service de mes semblables ! Je m'appelle Paulo Jorge Ortet de Barros Barbosa da Silva, j'ai été appelé et ordonné comme évêque par Richard Vanhulst, Président de Pieu à ce moment-là. J'ai été appelé le 7 décembre 2003 d'une façon inattendue pour moi. Malgré d'autres expériences comme Président de branche pendant et après ma mission et conseiller du district, être appelé comme évêque a été la première fois que je suis resté sans dormir pendant 1 semaine. J'apprends mon appel en lisant les manuels d'instructions générales et le restant en écoutant l'Esprit. Je sers dans une paroisse où il y a beaucoup de défis, des situations nouvelles à gérer. Quand je pense que j'ai déjà tout vu,
il y a toujours un nouveau problème qui se profile, une nouvelle situation à résoudre... Tous les sacrifices que j'ai faits pour mon appel ont été largement compensés par de la reconnaissance pour les grandes bénédictions spirituelles que je reçois de la part du Seigneur. J'ai dû apprendre à relever des grands défis, comme la langue et les multicultures que représentent les membres de la paroisse de Bruxelles 2. Le plus grand sentiment de joie que je reçois de mon appel, c'est de suivre la progression spirituelle de beaucoup de membres. Le sentiment le plus triste que j'ai ressenti dans mon appel, c'est de voir les gens qui sont partis dans un autre pays, d'autres dont la mort nous a séparés. La situation la plus dramatique que je puisse vivre dans cet appel, est de me rendre compte qu'un évêque ne peut pas toujours soulager, malgré sa bonne volonté, les problèmes, les souffrances des membres et que seul le réconfort du Seigneur peut les aider. J'ai eu plusieurs fois le sentiment de sacrifier le temps que je devrais consacrer à ma famille mais par le pouvoir de l'Esprit, le Seigneur m'a toujours aidé pour que puisse, durant le peu de temps, que je peux consacrer à mon foyer, leur faire ressentir tout l'amour et l'attention que je leur porte. Je suis reconnaissant du grand soutien que ma femme m'apporte, reconnaissant d'avoir des enfants obéissants qui essayent de suivre la voie du Seigneur, en essayant d'être des exemples, dans leurs cours de séminaire et institut et en montrant leur désir de servir une mission. Un de nos fils est déjà de retour, l'autre est sur le champ de la mission et le dernier s'y prépare... Mon plus grand désir est que le prochain évêque de cette paroisse puisse faire mieux que ce que fais et que je le soutiendrai pour qu'il y arrive. Je sais que l'Eglise est vraie et je veux lui être fidèle jusqu'à la fin en sachant qu'elle est vraie. J'aime beaucoup l'Evangile, je sais que Dieu nous aime et que Jésus-Christ est la tête de cette Eglise. Je suis très reconnaissant du sacrifice expiatoire de notre Sauveur.
Paulo Jorge Ortet de Barros Barbosa da Silva
Evêque de la paroisse de Bruxelles 2 Je suis reconnaissant envers mon Père Céleste ! Lorsque le Président de Pieu m'a demandé de servir comme Evêque, il y a maintenant presque deux ans, je m'attendais à une tâche ardue... mais, je ne savais pas à quel point, elle le serait ! Des problèmes difficiles, parfois éprouvants à résoudre, font partie de la vie d'un Evêque et il est difficile de ne pas être influencé dans sa vie privée par le malheur et les épreuves qui frappent nos frères et sœurs, nos amis. Ces expériences me permettent toutefois de mesurer les bénédictions infinies que mon Père Céleste déverse sur ma famille et sur moi en particulier.
Heureusement, il y a aussi des moments heureux, assister au miracle d'une conversion, voir une personne changer sa vie et se préparer à aller au temple, envoyer un jeune adulte en mission à plein temps, avoir un Collège de Prêtrise et une Société de Secours qui aident les personnes en détresse, et tant d'autres choses encore, compensent bien largement toutes les autres soucis... Je suis reconnaissant envers mon Père Céleste pour ces expériences enrichissantes qu'il me permet de vivre. Je suis reconnaissant également pour tous ceux qui m'entourent, mes conseillers, tous les dirigeants d'auxiliaires de notre paroisse qui travaillent diligemment dans la vigne du Seigneur et allègent ainsi grandement ma tâche ! Je n'ai pas une très grande expérience de dirigeant dans l'Eglise mais je peux déjà fermement témoigner de ceci: " Notre Père céleste a une infinie réserve de bénédictions à déverser sur nous. Il attend de pouvoir nous les offrir, Il le fera, mais c'est par notre obéissance et notre fidélité à l'Evangile que nous les recueillerons, par notre capacité à nous remettre en question et à changer certains aspects de notre vie également ". Que Dieu vous bénisse tous,
Pascal Rousselet
Evêque de la paroisse de Charleroi 2 Je ne regretterai jamais mon appel ! Servir en tant qu'évêque est un privilège et une bénédiction que je ne regretterai jamais. Il y a des moments d'épreuve et de difficultés, et parfois le fardeau est très lourd. Mais le Seigneur bénit chacun de nous dans nos appels avec tout ce dont nous avons besoin afin de magnifier nos appels, et Il nous soutient dans les moments d'épreuve, si nous cherchons son aide et nous nous approchons de Lui. J'ai senti la puissance et vu les bénédictions qui viennent des clefs de la prêtrise sacrée. Mais ces clefs ne sont pas les nôtres - elles sont celles du Seigneur. Il nous les a prêtées pour la construction de son royaume ici sur terre. J'ai vu la joie que reçoit celui qui sert le Seigneur et qui accepte d'être un instrument pour apporter la paix dans la vie de ceux qui souffrent. Mais ce n'est pas un service que je peux rendre seul, nous avons besoin de servir et de travailler ensemble pour créer Sion là où nous sommes. Plus que jamais auparavant, les dirigeants de l'Eglise mettent l'accent sur la nécessité pour les évêques de déléguer davantage de responsabilités aux membres du conseil de paroisse. De même, il est prévu que les dirigeants du conseil de paroisse délèguent ce qu'ils peuvent aux autres. Je suis reconnaissant pour ceux qui servent et soutiennent l'Episcopat par leur service fidèle. Une paroisse ou une branche ne pourrait pas fonctionner sans le service de chaque membre. Peu importe qui nous sommes et où nous servons dans l'Eglise, chacun de nous est important dans le plan du Seigneur. Nous ne devrions jamais oublier cela. Une personne n'est pas plus importante juste parce qu'elle a un appel particulier. Le Seigneur ne fonctionne pas de cette façon. L'œuvre du Seigneur ne peut pas progresser à moins que nous partagions tous les fardeaux et servir ensemble pour bénir la vie des autres. Mon président de mission, qui est maintenant un membre du Collège des Douze Apôtres, Elder Andersen, a déclaré à la Conférence Générale d'avril 2011 en se référant à une mission que nous n'avons pas demandé : "Que vais-je obtenir de ma mission? Mais plutôt "Que puis-je donner dans cette mission ?" Ce même principe peut et doit être appliqué au service dans nos paroisses et branches, ainsi que dans nos foyers. J'ai vu les bénédictions de Sion qui viennent lorsque les membres travaillent ensemble pour se servir les uns les autres, soulever les fardeaux des uns des autres, et aider chaque individu à progresser sur son chemin spirituel, oubliant souvent nos propres défis.
Le service apporte l'esprit dans nos vies plus puissamment que la plupart de toute autre activité dans laquelle j'ai participé. Je sais qu'il est essentiel pour notre progression spirituelle, j'ai senti et vu son pouvoir et son influence.
Je vous en témoigne au nom de Jésus-Christ. Amen.
Reed Anderson
Evêque de la paroisse de Bruxelles 1 Je crois en Christ et je sais que cette Eglise est sienne ! Mon épouse et moi habitons Herne depuis trois ans et nous avons deux petites filles. Nous faisons partie de la branche de Mons et nous y sommes très heureux. Je crois en Christ et je sais que cette Eglise est la sienne. Je suis content de pouvoir contribuer à Son œuvre dans notre belle région. Chaque âme a une grande valeur aux yeux de Dieu et apporte un esprit spécial. Ensemble nous apprenons et nous grandissons. Je prie pour que Dieu nous bénisse dans tous nos efforts et que nous ayons toujours le courage de Le suivre.
Jean Charles De Ligne,
Président de branche de Mons
My wife and I have been living in Herne for three years and we have two little girls. We belong to the Mons branch and we are very happy to be there. I believe in Christ and I know that this Church is His. I am very happy to be able to contribute to His work in this lovely area. The worth of each soul is great in the sight of God and each one brings a special light. Together we learn and grow. I pray that God will bless us in our efforts and that we can always be brave enough to follow Him.
Jean Charles De Ligne,
Mons Branch President

Remarque concernant le nom de l’Église:Quand vous parlez de l’Église de Jésus-Christ des Saints des Derniers Jours, veuillez utiliser le nom complet de l’Église la première fois que vous la mentionnez. Pour avoir plus de renseignements sur l’utilisation du nom de l’Église, consultez notre Guide de rédaction.